Or il est nécessaire que l’intellect soit le cercle en question : car le mouvement de l’intellect, c’est l’intellection, celui du cercle, la révolution. Si donc l’intellection est une révolution, l’intellect à son tour sera le cercle doué d’une telle révolution, savoir l’intellection. — ARISTOTE, De l’âme, livre I, 3, 407a.